Le commencement de la fin, ou la fin du début ?
Et nous voici, comme toujours dans cette pale scolarité,
face a une feuille blanche, aspirant encre et soupirs,
mais l'exercice est d'un tout autre genre car il s'agit ici de relater,
des bout de ma vie d'inconnu français qui ne sait que stresser, pleurer et rire.
La présentation de ce parfait inconnu sera bien brève,
car je ne veux pas me dévoiler à des yeux connaisseurs de mon existence.
Je peux juste vous dire que je suis lycéen.
Je ne peux pas m'exprimer en respectant ces rimes embrassés.
Et moi je t'embrasse donc, parfait inconnu,
terrassant la roulette de ta souris,
comme un félin en furie.
Et je te dis adieux sur le quai de la gare ;
ce sont les trains qui apportent la vie
mais aussi le désespoir des émouvants voyage
loin de chez soi, loin de sa patrie natale.
On est toujours mieux ailleurs.
La clef ferme la porte